02/11/2014
Continuation d'orientation pour le blog
Lundi : la citation de la semaine
Mardi : poésie de mon cru ou d’un autre
Mercredi : un texte plutôt philosophique
Jeudi : présentation d’un artiste ou autre youtubeur
Venderdi : un texte portant plutôt sur l’art et la culture, à Genève, ailleurs ou en général
Samedi : un jour consacré aux jeux vidéo
Dimanche : « Les Mots Du Nouveau-Monde »
Bien sûr, le programme peut être altéré selon mon envie, mes motivations ou l’actualité. Je ne tiens pas à me priver d’écrire quoi que ce soit, mais comme dit tout à l’heure, juste à mieux régulariser ces pages pour la nouvelle année académique à venir.
J'espère que cela vous plaira, petit à petit il y a toujours plus de visites, ce qui est vraiment génial à mes yeux!
Merci à tous, même aux trolleurs!
Source image: http://www.bonjourpokemon.fr/chrysacier-pokemon-insecte
23:16 Écrit par Igor Rodrigues Ramos dans Actualité genevoise/Internationale, Art de rue, Art et culture, Autres, Bref, un constat amer parmi tant d'autres, Cadavres Exquis (Jeu Surréaliste), Cinéma/CM/Docu/Youtube/clip, Citations de la semaine et W-E, Ecriture créative:Poèmes et autres, Entretien au cimetière, Interviews/Présentations/Découverte, Jeux vidéo/ Mangas/comics/BD, L'art à Genève, Les Mots du Nouveau-Monde, Les Passantes Basques, Libertinage Idéel, Littérature, Parce que la philosophie soulage l'âme, Path Of Exile, Peintres genevois entre le 18ème et 20ème siècle, Plumes Genevoises, Promenades photographiques, Re(c)act, Sagas MP3 / Séries audio, The Secret World, Théâtre, Traduction de « Auto da vida e da morte » d'Aleixo, Univers d'Expériences Alphabétiques, Voyages et univers, Wildstar | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer |
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23/09/2014
Cadavres Espagnols
Cadavre féminin
Ces sublimes saintes nues se ruent si lentement qu’elles empêchent mon salut.
L’oiseau nu s’enorgueillit à la vue de l’ange déchu et tordu.
Cependant, seins pendant, le magma humide s’invite si vite en doigtant le ciel.
I.R.R & VLM
Cadavre travesti
Les déguisements humanoïdes s’invitent jusqu’au bout de la night en doutant de la juste morphologie.
Leur proéminente pomme d’Adam, défoncé à la traitrise imagière, excite fortement la chute au paradis artificiel.
Hermès et Aphrodite palpent largement, affectant le tableau efféminé, sans facéties ni bas-résilles, ainsi que la veste d’Hermaphrodite.
I.R.R & VLM
18:34 Écrit par Igor Rodrigues Ramos dans Art et culture, Cadavres Exquis (Jeu Surréaliste), Ecriture créative:Poèmes et autres, Les Passantes Basques, Voyages et univers | Lien permanent | Commentaires (2) | Imprimer |
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22/09/2014
Les passantes basques
Une boutique pour dames
Il est bon de se balader dans une boutique pour dames,
Particulièrement lorsque l’on est un homme !
Pauvres aveugles !
Savent-ils ce qu’ils perdent ?
Voyez celle-ci essayant une robe bleue ;
Un bleu peau comme ses fesse si elle passait la nuit avec moi !
En ma compagnie, jolie brune, ce nouvel achat est inutile,
Je te l’arracherai avant même que tu ne l’essaye !
Et toi, belle blonde – je n’aime pas trop les blondes franchement-
Mais toi, belle blonde, je ne te laisserai pas dormir de la nuit !
Ce sac étincelant, la coquine rousse l’a aussi ;
Oh la rousse !
Savez-vous ce qui se cache derrière une jupe rousse ?
Non ? Moi non plus.
Christophe Colomb lui-même ne l’a pas découvert !
Oh les boutiques pour dames !
En général je déteste ça !
Et pourtant parfois
Lorsque je m’ennuie et que mes yeux ont faim,
Mes chers messieurs,
Je me balade dans une boutique pour dames !
Un conseil ?
Faites pareil !
Un voyage au bout de l’origine de l’univers, juste au coin de la rue,
Voilà ce qu’est une balade dans une boutique pour dames !
I.R.R
A la boutique, tique, tique
A la boutique, tique, tique,
Les belles dames, dames, dames,
Y perdent leur âme, âme, âme,
Et moi je les nique, nique, nique !
A la boutique, tique, tique,
Les frêles femmes, femmes, femmes,
Je fume mon stick, stick, stick,
Et perd mon calme, calme, calme !
A la boutique, tique, tique,
C’est tout un drame, drame, drame,
J’ai trop bu hic, hic, hic,
Mon zgeg est une arme, arme, arme !
A la boutique, tique, tique,
J’ai vu des dames, femmes, âmes,
Passe-moi le mic, mic, mic,
Afin d’écrire mes larmes, larmes, larmes !
I.R.R
Début des vacances
Assis sur ma chaise
Je sirote une sangria
En m’en grillant une.
Jette un œil sur la brune
Qui se fume un gramme
En bronzant son derrière.
Sans grâce ni grimaces
Commencent les vacances
De Monsieur Sanchez !
VLM
La tatouée
Une rose imagée au bras
Couplée à une forme que ne vois pas,
Elle se tient assise juste là
Attendant son café et son agua.
I.R.R
Dans les rues
Dans les rues défilent une faune fragile
Vêtue de quelques fils s’effilant bien facile.
Elles profilent leur nombril sous les nez infantiles des garçons puérils,
Invitant ces débiles dans une danse stérile.
Elles annihilent la semence fertile par leur sex-appeal.
I.R.R
Les jumelles
Déroutant le regard du plus tendre crevard,
Les monts jumeaux rendent hagards et ce n’est pas un hasard !
Poires ou pommes, melon ou cerises,
Les mamelles infidèles
Provoquent bien des bêtises !
La mainmise sur ces fruits qu’on ne saurait croquer,
Attisent le désir sans même y penser.
VLM
Celle qui se rhabillait
Ils étaient là, profitant du soleil,
Tel un mont verdoyant et vermeil.
Ils bronzaient tous deux comme si plus rien ne comptait,
Pourtant, toute l’humanité les contemplait.
Puis ils se sont levés vers le soleil d’été
Lorsque celle qui les portait s’en est allé.
I.R.R
Paysage rouge
Couchée auprès de deux squelettes clonés
Et portant une tenue ensanglantée,
Elle se caressait la jambe juste au moment
Même où je me levais pour prendre un café devant.
A mon retour, c’est elle qui se levait et partait avec hargne
Et ce fut là que je vis l’un des plus beaux paysages d’Espagne.
I.R.R
Latina, latina, latina
Latina, latina, latina,
C’est avec moi que tu dansas,
Souriant comme la sirène souria,
Puis un bisou par-ci,
Un bisou par-là,
On tourna, tourna, tourna,
Latina, latina, latina.
I.R.R
Les françaises
Il y a ces françaises que l’on sauva,
D’un gars relou qui leur parla,
Puis vint celui-là plein de joie,
Luc Ferry, Sartre, l’univers, tout y passa,
Et c’est ainsi festoiement que l’on pensa,
Tentant parfois de sortir de soi
Mais malheureusement, je suis toujours moi.
I.R.R
Big Boule
J’ai les yeux qui saignent,
Je n’en peux plus,
A la vue de cette grosse sirène
Avec un méga gros cul.
I.R.R
Pas mal
On s’est dit
Ouai quand même
Elle est pas mal
Et c’est clair aussi
Ce corps je l’aime
Pour lui j’ai dit idées sales.
I.R.R
Ana
Ana
T’es une pure nana
Quand je te vois
Tu me donnes la banana
Même si ton boule est aussi étroit
Que l’isme du canal de panama !
VLM
Pour Ana
Tes yeux ensoleillés éclairent les miens
Lorsque tu me regarde avec ces astres divins.
Et puis il y a ta longue crinière
S’écoulant comme une brune et douce rivière,
Quant à ton esprit saint et d’or
Il est aussi mystérieux que les abysses de ton corps.
I.R.R
18:30 Écrit par Igor Rodrigues Ramos dans Art et culture, Ecriture créative:Poèmes et autres, Les Passantes Basques, Univers d'Expériences Alphabétiques, Voyages et univers | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer |
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